lundi 27 octobre 2014

APRES LES RESTAURANTS DU COEUR.....LA GALERE ATTEINT L'EMPLOI DURABLE ...IL FAUT PASSER AUX ENTREPRISES SOCIALES & SOLIDAIRES ........L'EMPLOI EST UN DROIT & UN DEVOIR DE LA SOCIETE........L'ECONOMIE SEULE NE PEUT PLUS FOURNIR UN EMPLOI A CHACUN....DANS UNE ECONOMIE EN PANNE OU EN "STAND BY" !!!..DONT LES SIGNAUX DE REPRISE PEUVENT PRENDRE DU TEMPS A ÊTRE LISIBLES D'UN ESSOUFFLEMENT DE PLUS DE TRENTE ANS D'ÂGE D'UN MOTEUR EN SURCHAUFFE FINANCIERE & EN BAISSE TENDANCIELLE D'ACTIVITE INDUSTRIELLE COMPENSEE PAR LES IMPORTATIONS..D'AUTRES SOLUTIONS PLUS COLLECTIVES MAIS FINANCIEREMENT AUTONOMES DE LA DEPENSE PUBLIQUE EXISTENT EN APPORTANT UN SERVICE AUPRES DES CITOYENS : C'EST L'ECONOMIE SOCIALE & SOLIDAIRE (E.S.S.) AVEC DES CONCEPTS, PROCESS & PROJETS MUTUALISES SOCIALEMENT INNOVANTS ASSOCIATIFS, COOPERATIFS, MUTUALISTES D'ENTREPRISES SOCIALES & RESPONSABLES QUI REPONDENT DE LA RESPONSABILITE CITOYENNE EN COMPLEMENT DE L'ECONOMIE CLASSIQUE POUR COMBLER LES LACUNES & LES MANQUES

Tout au long de ce blog nous avons développés des projets dans ce sens & espèrons qu'enfin il y aura un déclic salvateur pour faire avancer & remettre en route les mécaniques éco-sociales rouil lées & maintenues dans des scénarios pour le moment dans l'impasse alors que nous avons les solutions par exemple de soutenir le commerce & les services qui fonctionnent & se développent pour arriver à demander la mise en place de la mobilisation & la formation d'un chômeur (meu se) longue durée par entreprise pour deux millions d'entreprises industrielles, commerciales, artisa nales & de services, & un million d'associations, coopératives & mutuelles, & collectivités locales publiques & privées, soit plus de trois millions de personnes recrutées après un audit d'orientation personnel sérieux de motivation & de projet qualifiant durable....qui peuvent être sorties sans complication du chômage longue durée....avec les seuls dispositions prévues aux conventions d'accords d'organisation des entreprises associées aux trente cinq heures....(tiens.....tiens..)..!!!

lisez nôtre blog vouds aurez l'essentiel
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ALGERIE
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DE L'AUTRE CÔTE DE LA MER DU MILEU......LAS-BAS.....COMME POUR EUX ICI (-ASSIA DJEBBAR/ACADEMIE FRANCAISE)-C'EST COMME CHEZ NOUS...DIS !!!!(HOSPITALITE ALGERIENNE)
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UN SALON DU LIVRE LE SILA 2014, DU 30 OCTOBRE au 8 NOVEMBRE 2014, QU'IL FAUT SOUTENIR MALGRE LA CONJONCTURE DIFFICILE  AVEC UN SECTEUR DE L'EDITION(267 éditeurs plus de la moitié des exposants) TRES DYNAMIQUE & des LIBRAIRIES TRES FREQUENTEES PAR UN ENGOUEMENT A LA LECTURE CONSTITUTIF DE L'IDENTITE CULTURELLE ALGE RIENNE QUI DONNE DE LA FORCE AU SAVOIR COMME UN DES SOCLES DE L'ISLAM & DES AUTRES REFERENTS CULTURELS....LES EDITEURS FRANCAIS NE S'Y TROM PENT PAS PAR LEUR PRESENCE EN NOMBRE CHAQUE ANNEE...............

CETTE ANNEE, UN HOMÂGE A UN ENFANT DU PAYS : EMMANUEL ROBLES....UN ORANAIS..QUI ECRIVAIT PAS MAL AUSSI..MAIS QUI AVAIT DU TALENT QUAND MÊME
                                                      (commentaire d'un algérois !)

CETTE ANNEE S'EST ETEINT A PARIS, UN ENFANT DE BAB EL OUED, UN ADORATEUR DES MOTS AU "CANARD ENCHAÎNE".....ROLAND BACRI, QUI AURAIT TANT AIME RENCONTRER LES ECRIVAINS & LECTEURS & LECTRICES "DE CHEZ LUI.......DE LA-BAS...DIS  !!"......

 INVITES D'HONNEUR : ....LES USA....BRAVO.......!!!!

journal "liberte d'Algérie"


CultureLundi, 27 Octobre 2014 09:50Facebook Imprimer Envoyer Réagir

SALON INTERNATIONAL DU LIVRE D’ALGER

926 exposants issus de 43 pays au rendez-vous

Par : Sara Kharfi
Les Etats-Unis d’Amérique sont l’invité d’honneur de la 19e édition du Sila, qui verra la participation de 926 exposants représentant 43 pays issus de quatre continents, dont 267 éditeurs algériens, répartis sur une superficie de 20 000 m². Coïncidant avec le 60e anniversaire du déclenchement de la Révolution, le Salon propose diverses tables rondes et conférences ayant trait à l’histoire.

Hamidou Messaoudi, commissaire du Salon international du livre d’Alger (Sila), a tenu, hier après-midi, au pavillon central du palais des expositions Safex (Pins Maritimes), une conférence de presse, durant laquelle il a présenté les grandes lignes de la 19e édition, prévue du 30 octobre au 8 novembre prochain (de 10h à 19h), et placée sous le thème : “Le Livre et nous”. Cette conférence a été marquée par la présence de la ministre de la Culture, Nadia Labidi, et le ministre de la Jeunesse, Abdelkader Khomri. Le ministre des Moudjahidine, qui devait également être présent, n’a pu, en fin de compte, se libérer. Mme Labidi a prononcé un discours, dans lequel elle a estimé que sa présence était une manière d’“encourager” le travail qui a été fait et qui se fait par tous les acteurs du livre et les organisateurs du Sila. Elle a également soutenu que le Sila était “un rendez-vous très attendu, une des plus grandes manifestations culturelles en Algérie”, tout en rappelant que la loi sur le livre, actuellement en débat à l’APN, pourrait être considéré comme “un acquis” et “un point de départ à même d’organiser les manifestations autour du livre”. Selon la ministre de la Culture, cette loi a permis la création “d’une plateforme de débat”. “Il est très important que les professionnels de l’édition rejoignent un atelier qu’on organisera prochainement pour prendre part à un débat”, a-t-elle annoncé. Mme Labidi, qui a salué le travail des associations (en leur demandant de s’impliquer davantage), a, en outre, annoncé que son département encourage la lecture mais aussi l’écriture, à travers notamment la mise en place prochaine de résidences d’écriture et d’un grand prix du roman. Dans son allocution, la ministre a aussi rappelé le travail qui se fait avec les ministères de la Jeunesse et de l’Éducation nationale – encourager la lecture et accorder plus d’importance aux matières artistiques. De son côté, le commissaire du Sila, M. Messaoudi, qui a déclaré que le Sila-2013 avait accueilli “plus de 1 300 000 visiteurs”, a présenté le programme de cette édition. Le Sila-2014 verra la participation de 926 exposants représentant 43 pays issus de quatre continents, dont 267 éditeurs algériens, répartis sur une superficie de 20 000 m². Le programme d’animation se répartira en deux volets : le premier est  dédié à la littérature avec plusieurs tables-rondes, et le deuxième s’inscrit dans le cadre de la célébration du 60e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale. Ainsi, des historiens et chercheurs algériens et étrangers aborderont plusieurs thèmes ayant trait à l’histoire. Comme chaque année, le Sila organise plusieurs hommages : cette année, il sera question d’hommages à Emmanuel Roblès, Jean-Louis Hurst, Samih El-Kacem, Gabriel Garcia Marquez, Abou El-Kassem Saâdallah. A cela s’ajoute un programme cinéma, organisé aussi bien au niveau de la Safex qu’à la Cinémathèque algérienne et qui comporte des projections de plusieurs films, notamment des adaptations cinématographiques à partir d’œuvres littéraires. Quant à l’invité d’honneur, en plus d’un stand qui lui sera réservé et des projections, trois auteurs américains, à savoir Marc Greaney, Eyre Price et Jennifer Steil, prendront part à cette édition et animeront une table ronde. Le programme est certes riche cette année, mais hélas, sans figures dominantes du monde de la création littéraire. Pourtant, le Sila est l’événement culturel le plus important de l’année.
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NDLR
Nous n'aurons pas d'invitation-presse pour cette année au SILA, même pas de Dossier de Presse, mais nous irons à Alger malgrès tout, pour bien d'autres choses intèressantes ainsi va parfois  la vie du professionalisme confondu avec l'amateurisme qui oublie le sens de l'hospitalité naturelle connue des Algériens.

..Ainsi nous sommes convaincus de vivre la fin d'une époqque où l'on peut voir encore des pièces du Musée de la bureaucratie à la naphtaline, digne de GOGOL, avec ces apparatchiks encore sûrs de leur pouvoir recepteurs de subventions mais peu enclins à travailler en dehors des projecteurs, & remplir leurs misssions de promotion & de communication au service des éditeurs algériens & de l'image de l'Algérie qui ont besoin de visibilité extèrieure......& mettent dans la gêne les diplomates, les algériens eu-mêmes & les Amis de l'Algérie 

A noter que la délégation aux communautés européenne a organisé ses Rencontres EUROMAGHREBINES de la Littérature en dehors de ce Salon Algérien  du livre.........

Mais.......bien sûr........rendez-vous au Salon du livre de Paris avec un stand Algérien digne d'un pays des plus pauvres de l'Afrique......dommâge..........mais en algérie l'avenir est pavé de plus d'espèrence  & à voir d'autres horizons plus clairs....ces organisateurs rejoindront les oubliettes de l'information quand leur moment viendra.....& il viendra.......mais nous n'aurons plus à les calculer......ils seront hors circuit......pour le bonheur & le bien d'une Algérie dont la force créatrice sera enfin visible pour le grand public, le seul qui nous intèresse ......!!!!

....Ne nous fachons pas ..........juste un moment de médiocrité & d'inculture stratégique à passer........que nous rencontrons parfois & que les algériens subissent en continue......Alors, ...on vous dit franchement,.....ne nous plaignons pas !!!!!

nous n'avons pas encore repéré d'articles de la presse française depuis deux jours........pourtant des invitations ont été envoyés ......tous frais payés de PARIS à PARIS.......

Par souci éthique & professionnel nous vous tiendrons informés par une sélection pertinente de contenus de la Presse algérienne .....& qui sait si un article français nous parvient .......mais cette année à part l'hommage à Emannuel ROBLES, l'invité d'honneur ce sont  : les USA........pas très interessant pour nos journalistes surtout à l'affut des prix à Paris....où un Algérien est encore en lice ..!!!!

BONJOUR CHEZ VOUS........Mais nous ne sommes pas des numeros.......nous sommes des hommes........!!!!
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Source "algerie-focus"


Par   | novembre 1, 2014 10:15
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Le Salon International du Livre d’Alger (SILA) 2014 a ouvert ses portes il y a deux jours. Une occasion de s’interroger sur l’industrie du livre en Algérie et particulièrement sur les conditions de travail des éditeurs algériens.
La 19e édition du SILA durera jusqu’au 8 novembre prochain. Pas moins de 900 exposants nationaux et étrangers prennent part à cette grande manifestation culturelle qui devient incontournable pour les professionnels du livre. En marge de ce salon, beaucoup de rencontres sont prévues avec de grands auteurs, ainsi que des hommages à des personnalités comme le poète palestinien Samah El Kacim ou le prix Nobel de littérature colombien Gabriel Garcia Marquez.
Une bonne occasion de s’interroger sur l’état actuel du livre en Algérie, en laissant la parole aux éditeurs, premier rouage de cette industrie du livre. La politique d’aide aux éditeurs mise en place par l’Etat algérien est-elle suffisante pour leur permettre de mettre en avant de jeunes auteurs ? Un an après l’adoption par le Conseil des Ministres d’un projet de loi qui doit réformer le marché du livre et qui a divisé les éditeurs, nous sommes allés à la rencontre des différents acteurs du marché du livre en Algérie.
Des subventions allouées avec des critères un peu flous
 « Un an après son adoption par le Conseil des Ministres, le projet de loi sur le livre n’est toujours pas effectif » explique Salim Sedjal qui travaille aux éditions Apic. Et pour cause : le projet doit encore passer par l’Assemblée et le Sénat. « Cette loi devrait nous aider à promouvoir de nouveaux talents. On publie déjà de jeunes auteurs comme Sarah Haidar ou Randa El-Kolli mais une aide plus conséquente nous permettrait de les mettre encore plus en avant » commente Salim.
Les éditeurs algériens bénéficient déjà, pourtant, d’une aide de l’Etat, allouée par le Ministère de la Culture. « On ne peut pas dire que les éditeurs ne sont pas aidés par l’Etat » tranche  Dalila Nedjem, directrice des éditions Dalimen. « Le ministère de la Culture achète des quotas de livres pour les diffuser ensuite dans les bibliothèques et d’autres institutions publiques. Cela nous permet, à nous éditeurs, de vendre les livres moins cher » explique cette professionnelle de l’édition.
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Dalila Nedjem, directrice des Editions Dalimen, dans son stand au SILA
Pour bénéficier de telles subventions, l’éditeur doit passer par le Centre National du Livre (CNL), instance dépendante du Ministère de la Culture créée en 2009. Ce dernier choisit, grâce à un système de commissions, les livres qui recevront une aide du Ministère de la Culture.
Mais tous les éditeurs n’arrivent pas à obtenir de telles aides. C’est le cas de Nouredine Necib, directeur de Necib Editions et membre du Syndicat National des Editeurs du Livre (SNEL). « Pour ma part, je n’ai jamais reçu de subventions. Ce n’est pas faute d’avoir déposé des livres au CNL. Je ne sais pas en vertu de quels critères ils élisent tel ou tel ouvrage », dit-il.
Bendif Hassen, directeur général du CNL, assure pourtant que son institution fonctionne de manière transparente. « Nous avons quatre commissions permanentes; création et traduction, commission du livre jeunesse, la commission de l’édition et de la diffusion et la commission des activités relatives au livres. Nos critères de sélection se limitent à des aspects techniques, il faut que les livres répondent à certaines normes d’écritures. Nous n’avons pas de ligne éditoriale et ne faisons preuve d’aucune censure en matière de thèmes ou sujets» se défend-il.
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« Pour ma part je demande un soutien pour ce que j’appelle les livres à respiration moindre, c’est-à-dire les livres difficilement accessibles au grand public à cause du prix, comme les encyclopédies ou la poésie», explique Dalila Nedjem des éditions Dalimen en montrant plusieurs ouvrages de son stand qui ont bénéficié d’une aide de l’Etat. « Je ne pense pas que le thème des livres proposés sont pris en considération dans le choix de la commission », poursuit-elle.
Une aide « ponctuelle » plutôt qu’un « réel fond de soutien »
Le son de cloche est un peu différent chez Barzakh. Les éditions qui ont publié le finaliste du prix Goncourt Kamel Daoud reconnaissent qu’elles proposent le plus souvent des livres en rapport avec des échéances nationales. « Nous recevons surtout des subventions pour des essais historiques, du Ministère de la Culture et du Ministère des Moudjahidine», explique une jeune femme qui tient le stand ce vendredi. « On a déposé pas mal de livres à la commission dans le cadre du Cinquantenaire. Il est vrai que les aides de l’Etat sont souvent réduites à des événements ponctuels ou des célébrations comme Constantine capitale de la Culture  Arabe», ajoute notre interlocutrice. «Mais de là à dire qu’il faut obéir à une certaine ligne éditoriale ou à certains critère pour voir ces livres subventionnés, je ne crois pas ! » modère-t-elle.
Un projet de loi sur le livre qui se fait attendre
Azzedine Guerfi, directeur des éditions Chihab, partage le même avis : “les subventions de l’Etat sont occasionnelles et circonscrites à des manifestations comme Tlemcen capitale de la culture Islamique, mais il n’y a pas de réel fond de soutie”.  Il dit attendre avec impatience le projet de loi sur le livre qui doit encore passer par l’APN et le Sénat avant d’être appliqué. « Cette loi devrait enfin impulser une véritable politique du livre, en créant des mécanismes de diffusion plus efficaces», argue le directeur des éditions Chihab.
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Azzedine Guerfi, directeur des Editions Chihab, dans son stand au SILA
Ce projet de loi adopté il y a tout juste un an par le Conseil des Ministres prévoit la professionnalisation et la régulation de la branche des libraires et la mise en place d’un prix fixe pour les livres sur tout le territoire.
 « La loi prévoit également de développer un lectorat jeune par l’obligation de lecture de trois romans pour les petits algériens » tient à souligner Azzedine Guerfi.  « Il y a 8 millions d’élèves en Algérie, imaginez, pour nous éditeurs, cela représente un marché de 24 millions de livres ! Je suis optimiste sur l’avenir du livre en Algérie. »
« Cette loi est une porte ouverte au monde de l’édition » acquiesce Dalila Nedjem. « Avec cette nouvelle politique du livre, le statut de l’éditeur va changer, pour passer de prestataire de service à véritable producteur » conclut-elle enthousiaste.
Arezki Ibersiene et Agnès Nabat
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ALGERIE  TOUJOURS......

...EN COMPLEMENT HISTORIQUE SUR MADAME 

SIMONE VEIL


 A PROPOS DE L'EMISSION de FRANCE 2 UN JOUR UN 

DESTIN SUR MME SIMONE VEIL-JACOB.......EN 

COMPLEMENT D'INFORMATIONS....................

Le commentaire est vite passé sur les premières étapes de la vie de Magistrate fin des années 50, en dehors des anecdotes sur ses visites de prison en vacances,  pénibles pour les siens, mais plutôt sur le rôle de Madame Simone VEIL, Magistrat, juge de l'application des peines, en charge des conditions d'emprisonnement des militantes du FLN condamnées & incarcérées en France pendant la guerre d'algérie qu'elle a jugé bon de regrouper à la Prison de Rennes & dont ces militantes historiques, "les moudjahidats" n'ont jamais oubliée l'action humaine d'une Simone Veil certainement sensible à leurs conditions de détention, mais aussi au respect du combat de ces femmes & pas dupe des réseaux d'informations inter-militants internes & exterieurs, & à l'époque, certainement sensibilisée dans une période politiquement tranchée, dans sa sensibilité pragmatique peut-être déjà néo-mendesiste,(proche des idées de Pierre Mendes-France homme politique de centre-gauche,inspirateur des jeunes en politique en dehors des Communistes,& des Gaullistes, membre du Parti Radical & bientôt d'un nouveau Parti, le PSU, à l'époque qui a tenté De Gaulle de lui proposer sans succès le poste de Premier Ministre), mais aidée de la fidélité de ses amitiés des camps avec des femmes communistes & de gauche qui militaient auprès de la cause des algériennes incarcérées qui renvoyait certainement sa mémoire a sa propre expérience terrible de l'enfermement dans les camps, & elle a dû rencontrer aussi le Collectif des Avocats de Defense des militant(e)s en France incarcéré(e)s & Condamné(e)s du FLN, M° Jacques VERGES, & Mourad OUSSEDIK, Jean-Jacques DE FELICE, & autres figures juristes de soutien actif, & côté femmes M° Gisèle HALIMI (qu'elle retrouvera sur le Dossier Avortement) qui n'a pas dû rester sans se manifester & une avocate moins connue mais la peste des magistrats militaires à ALGER, sans pitié face au terrorisme, (pendant judiciaire de la fameuse bataille d'Alger conduite par les généraux Massu & le Colonels Bigeard, ARGOUD & le Capitaine Donnedieu de St MARC & autres AUSSARES) à ALGER qui prononçaient les peines & les sentences.....M°Annie COHEN, de confession juive & athée, & Communiste, elle-même sortie des camps fidèle au Parti Communiste jusque dernièrement à sa disparition il y a près  de deux ans, une personnalité historique de la guerre de libération algérienne aux yeux du commandement lui-même de la wilaya IV (région autonome d'alger)........
Yacef Sâadi .......aujourd'hui...sénateur......


A l'indépendance, dès 1962, Simone VEIL s'est déplacée régulièrement en Algérie & a revues les anciennes prisonnières des géôles françaises, parfois devenues amies , dont Zohrah DRIFF-BITAT, devenue juriste & cadre parlementaire influente du pouvoir jusqu'à present & épouse puis veuve récente, d'un héros de la guerre de libération, Rabah BITAT, membre du groupe des 6 de l'OCFLN en rupture du MTLD de Messali HADJ,donc un des déclencheurs du 1°Novembre 1954 parachuté dès 1962, Président élu mais inamovible de l'assemblée populaire nationale algérienne,(qu'on a appelé par l'humour algérois "le normand" "BITAT oui, BITAT non, BITAT oui &/ou non" & actionnaire d'une patisserie fameuse d'alger, "la bague de kenza" aujourd'hui visible à Paris même dans le quartier des champs elysées que des gens (dont les pieds-noirs incultes qui ne veulent rien savoir de l'Algérie d'aujourd'hui)prennent pour une patisserie libanaise),(résistante politique Algérienne membre des groupes actions de la wilaya IV , poseuse de bombes meurtrières à Alger, combattante & résistante authentique historique de la Guerre de Liberation Algérienne pour l'Indépendance aujourd'hui vice-présidente du SENAT ALGERIEN)

Simone VEIL, en conformité à des volets plus techniques méconnus d'accords de coopérations inter-ministeriels certainement associés & prévus dans le cadre des accords d'EVIAN au titre de la cooperation d'accompagnement de la France pour la construction de l'Etat algérien dans ses missions régaliennes, est venue en Algérie au titre de la direction de la cooperation de la chancellerie auprès du Garde des Sceaux, pour former des magistrats algériens & algériennes, même militaires, dont certains en ont gardé des souvenirs de compétence remarquée & remarquable, comme Leila ASLAOUI, juriste en formation dans les années 60/70,  devenue magistrate, vice-présidente à la Cour Suprême, ancienne ministre, veuve de la guerre terroriste des années 90 dont les enfants dansaient sur les chansons d'Enrico Macias au grand dam de leur mère nationaliste pur jus Boumedienne pas très tolérante sur le sionisme du petit instituteur de constantine..........(qui a bien des chances de ne jamais plus revoir l'Algérie alors qu'il y a été invité (à cause, "pardon pour les sionistes doux",  de ses excès d'égo & de gestes pro-sionistes de soutien inculte sans retenue & a manifesté à Paris pour tsahal pour l'opération "plomb alourdi" avec les excessifs ultras  de la LDJ adorateurs du rabbin défunt Meir KAHANA, promoteur de haine) des opérations successives de "sécurisation anti-terroriste" à gaza depuis 6 ans par trois fois en soutenant les quasi-génocides visibles de plus de 3.000 enfants...qui  n'est pas un jeu vidéo..où tout le monde se relève à la fin..!!!.....(ses chants pour la paix & les enfants sonnant bien faux...
...Serge Lama a raison dans une de ses chansons récente pleine de vérité......"méfiez-vous certaine fois des poètes !!"....)....

....Nous en avons autant pour les exgésètes jusqu'auboutistes pro-palestiniens opposés à la paix & complices de fait des ultra juifs & israéliens !......

.......dont Simone VEIL a toujours été si éloignée...!!!

.......Simone VEIL inspirait & a inspiré en Algérie, un profond respect (.......comme aussi à l'époque, tout cooperant bienvenu volontaire & utile à l'avenir de l'Algérie)

.....& on pourra s'en apercevoir avec émotion quand elle répondit à une invitation de l'Ambassadeur d'Algérie à Paris,il y a quelques années, pour la fête nationale du 1°Novembre du déclenchement de la guerre de libération au Pavillon Dauphine, à Paris, & à l'annonce de son arrivée, un silence de respect dû à un chef d'état a remplacé le brouhaha & suivi d'applaudissements pour lesquels elle était très émue auprès de ses ami(e)s...& pris le plaisir de partager ce moment avec eux et elles, & sa présence semblait de sa volonté forte d'être là.....& il nous a semblé que des personnes étaient venues spécialement d'Algérie pour la rencontrer ayant eu vent de la confirmation de sa venue.......par "tilifone DZ" bien sûr !...........

....Ce soir là........Madame Simone VEIL, ancienne magistrate en charge des conditions de détention des militantes algériennes(peut-être de gauche à l'époque avant de passer au centre-gauche certainement influencée par Pierre MENDES-FRANCE qui a formé par l'inspiration de ses convictions d'experience des hommes & femmes politiques progressistes dont certain(e)s ont rejoints la droite comme Jacques Chabban-Delmas auteur du fameux discours en tant que 1° Ministre de Georges POMPIDOU 1°Président post DE GAULLE, sur la Nouvelle Société, fameux président de l'assemblée nationale), ancienne Ministre & Présidente du Parlement Européen, était consacrée & confirmée UNE AMIE DE L'ALGERIE.....ce qui a une traduction très précise en ALGERIE & pour une femme née & de confession juive au sionisme progressiste mais affirmé a une valeur forte.......d'abord d'un vrai symbôle de la République irréprochable....!!!

 .....Sachant que l'Algérie a été observateur pour les pourparlers avec leurs diplomates avertis auprès des Palestiniens lors des accords d'Oslo entre Israéliens & Palestiniens en 1973 dont la proclamation de l'état par Yasser ARAFAT a été prononcée à ALGER dix ans plus tard........

Au Parlement Européen Simone VEIL a aussi oeuvré Pour une Méditerrannée de Diplomatie Active.......où le conflit au proche-orient a toujours été au coeur des enjeux de la méditerrannée jusqu'à maintenant & pour longtemps encore....

....& ce qui l'a certainement poussée dernièrement au sein de la Fondation pour la mémoire de la SHOAH de venir à L'UNESCO participer à la promotion d'un beau Projet qui a fait l'objet cette année en 2014, d'un suivi au Sénat, sous l'égide de Madame BARIZA KHIARI, vice-Présidente socialiste & fabusienne, avant l'alternance des derniers élections,: le projet "ALADIN" cité plus bas en direction du Monde arabe qui n'est en rien responsable de la SHOAH........

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http://www.projetaladin.org/
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 .......Même si le parti BAAS de syrie & d'Irak trouvèrent l'inspiration par son créateur egypto-libanais chrétien Michel AFLAQ dans le modèle d''organisation du parti nazi "NAPD" des frères Strassers & du petit caporal Adolf Hitler,...

.... Même si le mufti de jérusalem.... a rencontré Hitler en audience à la chancellerie (comme une délégation avec itzrak shamir,....pour sauver des juifs de la déportation)

.....& même si Alois Brunner de sinistre mémoire connu comme colonel SS a nice dont les décisions de faire venir la gestapo allemande a permise l'arrestation de Simone JACOB......la boucle est bouclée......
....Et cet Alois BRUNNER  fut longtemps conseiller du Président SYRIEN & certainement mort caché à DAMAS qui avait été retrouvé par le MOSSAD.......mais leur a échappé au moment de programmer un enlèvement........

Pour les Algériens & algériennes, Simone Veil est une belle personne, une voisine solidaire pleine de sagesse dont la jeunesse nourrit son grand âge des meilleurs souvenirs d'émotions fortes......

Que ses enfants & la suite en soient fiers......elle a su faire de sa vie quelque chose de bien..alors qu'elle pouvait croire qu'elle commençait mal...!!!! 

D'où ils sont, ses parents disparus frère & soeur compris peuvent aussi en être fiers pour l'éternité....

..bien qu'elle ait  encore de belles années devant elle....pour elle même & les siens ainsi que ses ami(e)s dont ceux & celles de déportation encore en vie, dans le respect de la voire vouloir rester en dehors de la vie publique autant qu'elle a eue la volonté de servir la société, & la République, qu'elle s'est imposée depuis la disparition d'Antoine Veil, son époux d'une vie de fidélité, son point d'équilibre..avec sa famille, .....qui a rejoint le territoire des sages lumineux éternels ..dans son jardin d'hiver..... comme  l'a chanté Henri Salvador..!!!!..........

le Serpent à Plume........
(jean-guy jais.......jgjais@gmail.com)
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ALGERIE : JOURNEE DE LA PRESSE

ACTUALITES ALGERIENNES  : SOURCES OUVERTES

source "L'EXPRESSION d'ALGERIE "
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1- Justice
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LLOQUE S'EST TENU HIER À EL AURASSI

La qualité de la justice fait le débat

Par 
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«Chaque pays a ses traditions juridiques»«Chaque pays a ses traditions juridiques»
Rehaussée par la présence de Louardi Benabid, procureur général près la Cour suprême, la conférence avait pour thème: «La qualité de la justice.»
«La qualité de la justice» a été le thème débattu hier à l'hôtel El Aurassi par de nombreux magistrats, avocats, profs d'animation, chefs de cours et de tribunaux du centre du pays.
Le Dr Ahmed Chaffaï, directeur du Centre de recherche juridique et judiciaire, a présidé cette importante rencontre ambitieuse, car la «qualité de la justice» est, normalement, un acquis à atteindre par notre magistrature si décriée par les justiciables et louée à un degré moindre. «En tant que service public comme les autres dans son fonctionnement au profit des citoyens et du justiciable et d'autre part, comme service judiciaire spécifique et ce, pour caractériser une justice de qualité», a estimé le Dr Chaffaï dans son allocution d'ouverture.
Les plus hautes autorités judiciaires du pays étaient présentes en vue de rehausser cette journée où les intervenants tels Jean-Paul Jean, président de chambre à la cour de cassation française, Belkacem Zeghmati, procureur général d'Alger qui a brossé un aperçu convenable de la «qualité du service public de la justice», Daniel Tardif, président de chambre à la cour de cassation française, qui a dit dix mots autour «de la phase préparatoire au procès: la mise en état en matière civile», Chantale Bussière, première présidente de la cour d'appel d'Aix-en-Provence, chef de projet français, Kamel Fenniche, président de chambre au Conseil d'Etat, qui a tartiné agréablement sur la «qualité des jugements», l'exécution des décisions de justice par Benyoussef Benrokia, prof d'université de Blida, qui a soulevé «l'effectivité», et le dernier intervenant Mouloud Allache, magistrat, chercheur du Centre de recherche juridique et judiciaire qui a clôturé autour du sujet épineux «La qualité du juge et des auxiliaires de justice: la formation.»

Le rôle de l'avocat
Sur le plan de la crédibilité du service public, beaucoup d'exigences sont partagées avec les autres services publics comme l'accessibilité de la justice à tous avec le guichet unique dans toutes les juridictions pour permettre une réponse autant se peut, accessible et précise à toutes les questions posées, le renforcement judiciaire, l'obtention d'informations par le justiciable, lui permettant d'être au parfum, l'état du droit et la procédure, qui sera celle au cours de son affaire, à titre d'exemple. Jean-Paul Jean sera le deuxième intervenant autour de nombreux exemples concrets, l'approche internationale, la problématique générale. L'orateur a insisté sur la valeur de la qualité de la justice. Il cite la Hollande dont la justice frise la perfection. L'Angleterre mise sur les atteintes fastidieuses des attentes. La France aussi compte des retards sur la qualité. «Chaque pays a ses traditions juridiques et ne doit donc pas juger les ratés des autres dont les us et coutumes sont différents comme si les valeurs de la justice sont universelles.» «La qualité de la justice repose essentiellement sur la qualité du personnel et la finalité de la justice souvent prises en défaut», a martelé l'orateur qui s'est étendu sur le comment obtenir justice le plus simplement du monde.
Il soulève le rôle de l'avocat et le passage à l'acte autour de l'exécution des décisions de justice. «C'est fondamental d'arriver à voir un justiciable brandissant un arrêt définitif et qui ne demande que l'exécution!» dit-il avant de passer au nombre d'affaires énorme qui noient l'appareil judiciaire, surtout dans les petites affaires répétitives.
«La modernisation de la justice» est souhaitable pour la qualité du secteur. Il compare 45 pays européens comparables. «Les pays les plus riches sont évidemment à l'avant du combat. Il n'est pas question de comparer la Bulgarie et la Suède ou encore l'Espagne et l'Ukraine etc...
Il est vrai qu'en ce qui concerne notre pays, en tant que service judiciaire, la qualité de la justice renvoie à l'organisation des juridictions et à la qualité de ses acteurs. Par exemple, avant le procès, en matière civile, une phase préparatoire doit permettre la mise en état du dossier et ensuite seulement la fixation d'une date de plaidoirie.
Beaucoup d'autres paramètres jouent dans ce domaine. Dans la salle d'audience, le juge du siège doit être à l'écoute des parties et assurer le droit de chacun avec respect et en toute impartialité. Et lorsqu'il rendra la décision, elle doit être motivée, si motivée que celui qui se prévaut de l'exécuter sans aucune difficulté. Ce qui va au mur lors de la «difficulté dans l'exécution», talon d'Achille de notre justice. Les délais raisonnables aussi vont vers la qualité. La performance des magistrats et greffiers doit être le «chouchou» des chefs de juridiction invités à veiller à mettre en place les conditions optimales. La «fleur» balancée par Jean-Paul Jean qui s'est dit charmé par le guichet unique: «A Chéraga, le guichet unique est meilleur qu'en France, car il y a un guichet à la disposition des avocats. Il y a aussi le greffier correct, compétent et disponible, prêt à avoir le renseignement en un clin d'oeil!». Un quart d'heure plus tard, ce sera Zeghmati, le procureur général d'Alger qui a évoqué largement l'amour du métier et le professionnalisme des gens chargés de missions spécifiques.
«La qualité du service public de la justice» va d'une contrée à une autre. L'élément féminin est à placer avec beaucoup de doigté et de bon sens. Le tabou aidant, la méconnaissance de la langue arabe dans certaines régions vient s'ajouter au malheureux tabou voyant une jeune fille à l'accueil et l'orientation», a expliqué le magistrat qui a étalé une large culture générale en la matière, lui qui a bossé dans toutes les régions du pays.
Il s'est dit heureux de voir plus de 90% d'informatisation des documents. «Ne restent en vie que les cahiers où le décret présidentiel y est», a articulé l'orateur qui s'est félicité de la permanence de tous les parquets du pays. «La disparition progressive des files d'attente des citoyens est en bonne voie», ajoute Zeghmati, «ravi que la modernisation fait son effet au crépuscule de 2014», a même assuré l'orateur, stoppé net par le... chrono, car beaucoup d'idées se nichaient encore dans la boîte crânienne du procureur général. «Dommage!» fut sa conclusion.
Le Dr Chaffaï a, par la suite, souhaité des n° verts dans les juridictions dont le standard est muet depuis belle lurette.
«Un citoyen qui a un problème de justice, ne sait pas attendre et n'a pas le n° du procureur ou du juge...»
Au cours des débats, Maître Zaâlane, Kamel Feniche, entre autres, ont soulevé l'exemple italien en matière de pourvois en cassation. Mohamed Yahiaoui, le procureur de la République a voulu remercier son procureur général à propos de la maîtrise, du professionnalisme de certains greffiers, en ajoutant les autres partenaires de la justice.
Il soulève la lenteur de la police judiciaire dont le retard est imputé au parquet local par les parents des détenus, par exemple.

Le mandat d'arrêt
Le procureur aurait bien voulu continuer son intervention, mais le facteur temps l'en empêche. Maître Mihoub Mihoubi a regretté le compte-rendu inachevé de Zeghmati, avant de relever que la justice ne s'arrête pas au Palais de la justice, mais à tous les auxiliaires et partenaires de la justice en précisant que le côté «droit» doit être d'une qualité supérieure car la jurisprudence est non seulement nécessaire mais utile. Des sympathiques débats, le mandat d'arrêt et ses malheureuses suites souvent désastreuses, a montré le bout du nez.
Encore une fois, la police judiciaire s'est trouvée à l'index par un manque flagrant de coordination et Tayeb Louh, ministre de la Justice, garde des Sceaux, a raison de taper du poing, car le justiciable n'est pas dans le secret des «dieux» qui veillent sur la magistrature. Et pourtant, tout semble facile, la police judiciaire a un chef: le procureur.
Le rôle de la société civile dans l'implantation de l'émancipation de la culture juridique. Zeghmati a regretté les pas d'écrevisses effectués par la justice et les avocats. «Nous avons été incapables de préserver les acquis douloureusement arrachés de haute lutte, notamment le greffe qui connaît un grave problème de personnel, car quelqu'un que l'on place non pas à sa place, mais à une autre mission, fait semblant de bosser.
Il faut prendre en charge ce problème crucial», a mâchonné Zeghmati qui a dû se rendre compte que certains invités pensaient à ce moment précis que la justice algérienne dépend des hommes et des femmes qui la composent et surtout faire en sorte d'aider ces derniers à bosser dans des conditions optimales.
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2 - Recherche


IEUR L'ANNONCE

L'Algérie aura son Académie des sciences

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La recherche scientifique, un atout à préserverLa recherche scientifique, un atout à préserver
Les membres de ce jury seront issus des cinq plus prestigieuses académies au monde.
«Notre pays jouit d'un potentiel scientifique, notamment de chercheurs, des plus enviables à l'échelle du continent africain et des pays arabes. Nous sommes les seuls, au même titre que la Libye, à ne pas disposer de pareille structure» s'est désolé le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M.Mohamed Mebarki, à la faveur d'une allocution qu'il a prononcée à l'occasion d'une rencontre qui a réuni les recteurs des universités des wilayas. Le but de ce rendez-vous étant de faire le point sur la rentrée universitaire 2014-2015 et prévoir celle de 2015-2016. Le même responsable a alors officiellement annoncé que le gouvernement projette de créer l'Académie des sciences et de la technologie. Cette dernière sera bien algérienne et sera, a-t-il précisé, autonome de toute tutelle.
Seuls les critères de compétences comptent pour élire ses membres. Ces derniers seront d'ailleurs admis par leurs pairs. A fait savoir le même responsable qui a ajouté qu'il s'agit, désormais, de créer le noyau de cette académie qui abritera une commission pluridisciplinaire. Le projet serait donc imminent surtout qu'il sera inscrit à l'ordre du jour du prochain Conseil du gouvernement.
Un jury totalement international choisira parmi le lot de scientifiques candidats. Les membres de ce jury seront issus des cinq plus prestigieuses académies au monde, dont celles des Etats-Unis d'Amérique, de Grande-Bretagne, de Suède ou de France. Il ne s'agit pas ici d'une perte de souveraineté, car la démarche consiste à assurer le maximum de crédibilité et de neutralité dans l'édification de cette académie.
«Bientôt les établissements de recherche seront sollicités pour communiquer autour de cet important projet» a rappelé le ministre qui a évoqué la nécessaire adéquation entre l'environnement de la recherche et celui économique et social, tout en oeuvrant à rattraper le retard accusé dans ce chapitre. Retard qui frappe particulièrement la réalisation de Centre de recherche et de laboratoires, a fait savoir le ministre qui a indiqué que la nouvelle loi sur la recherche permettra de pallier bien des défaillances. Après avoir indiqué que les filières aux débouchés purement professionnels ne représentent que dix pour cent du cru de l'université, le ministre a alerté que la demande devienne accrue sur certaines spécialités comme l'architecture, la technologie ou l'informatique.
Les écoles ont le plus grand mal à absorber cette demande, essentiellement dans l'algérois, a-t-il signalé, en précisant que son département oeuvre à ouvrir de nouvelles branches conformément à la carte nationale. Selon lui, le surplus a été absorbé grâce à la mise à contribution d'autres pôles comme ceux de Tlemcen ou Oran.
Auparavant, M.Mebarki avait fait part de son évaluation de la rentrée universitaire 2014-2015 qu'il a qualifiée de rentrée confortable grâce aux concours de tous, notamment les organisations estudiantines, les sections syndicales, l'administration et les enseignants... «Cette rentrée est sereine et nous permet de gagner un appréciable temps pédagogique» a-t-il jugé en déclarant que l'Université algérienne a accueilli au titre de cette rentrée 221.000 nouveaux bacheliers. L'effectif global de l'université est ainsi de l'ordre de 1324.000 étudiants. L'orateur a par ailleurs souligné que son secteur veille à mettre à exécution un plan directoire pour réaliser les objectifs assignés, tout en activant un système de coopération tous azimuts, avec en prime l'ouverture de l'Université algérienne au monde.
Le ministre n'a pas manqué de revenir sur la problématique de la mise en place du système LMD, lequel bute encore sur quelques freins, faute d'information suffisante. La problématique de la mise en place du système LMD, continue de rencontrer des obstacles de manière différente à cause du manque de l'information et de la méconnaissance des mécanismes qui sont mis en place, selon le ministre. 75% des licenciés inscrits au Master ont obtenu l'avis favorable, sous condition de respect des critères de sélections requis pour le passage du système classique au système LMD.
Rebondissant sur le thème de l'habitat, M.Mebarki a tout de go alerté que la priorité est donnée à l'université. La consultation du Fichier national du logement sera l'une des étapes qui permettra aux professeurs et aux personnels de l'université de bénéficier d'un habitat.


L'Algérie va présenter ses drones

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Les premiers drones algériens seront présentés vendredi prochainLes premiers drones algériens seront présentés vendredi prochain
Un laser de marquage de produits mais surtout une imprimante 3D, tous deux développés par des chercheurs algériens, seront également dévoilés en cours de semaine.
La révolution technologique algérienne est-elle en marche en ce mois des révolutions? En tout cas, l'Algérie a fait un grand bond technologique durant ce mois d'octobre. En effet, après que l'ANP ait lancé, avant-hier, la fabrication de son premier véhicule tout-terrain 4x4 de marque Mercedes Benz, les premiers drones algériens seront présentés vendredi prochain. «Vendredi prochain débutera le Salon national des drones qui verra l'exposition de quatre drones de fabrication 100% algérienne», a révélé, hier, le directeur général de la recherche et du développement technologique au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelhafid Aourag sur les ondes de la Radio nationale Chaîne III où il était l'invité de la rédaction. Ces drones non armés, les premiers fabriqués par l'Algérie serviront entre autres au contrôle des foules, des stades, des feux de forêts, transports de colis...», a souligné avec fierté M.Aourag. Toutefois, ce ne sont pas les seules inventions «made in Algeria» qui seront dévoilées lors de ce salon. «Le grand public découvrira également d'autres inventions purement algériennes, à l'instar d'un laser de marquage développé par des chercheurs algériens, un outil qui est devenu indispensable pour garantir la traçabilité des produits sur le marché et leur authenticité», témoigne-t-il. «Le coût de ce produit national est trois fois moins cher que son équivalent étranger», s'est-il enorgueilli. Un autre produit de haute technologie de fabrication algérienne sera, lui, présenté aujourd'hui. «Il s'agit de l'imprimante 3D développée par des chercheurs algériens. Elle aussi coûtera beaucoup moins cher que ce qui est proposé sur le marché», rapporte-t-il en faisant savoir que le ministère de l'Industrie avait déjà fait une commande de 500 pièces. L'impression tri-dimensionnelle (3D) permet de produire un objet réel: un opérateur dessine l'objet sur un écran en utilisant un outil de conception assistée par ordinateur (CAO). Le fichier 3D obtenu est envoyé vers cette imprimante 3D qui le découpe en tranches et dépose ou solidifie de la matière, couche par couche, pour obtenir la pièce finale. Selon, M.Aoureg, l'Algérie aura donc réussi à développer sa propre technologie dans ce domaine qui représente l'avenir de l'industrie de par le monde. A toutes ces technologies annoncées par le directeur général de la recherche et du développement technologique, il faut rappeler que la première voiture touristique 100% algérienne de type Renault Symbol sortira d'usine le 10 novembre prochain. Une page technologique semble donc en train de s'ouvrir en Algérie. Cependant, il ne faut pas crier trop tôt victoire car, Abdelhafid Aourag affirme que seul 0,1% des brevets délivrés annuellement sont réellement exploités. «Une centaine de brevets sont délivrés annuellement en Algérie, mais en termes d'exploitation, 0,1% seulement le sont réellement», indiquet-il. Selon M.Aourag, la responsabilité de la concrétisation de ces projets brevetés revient en premier lieu aux acteurs socio-économiques et non pas à sa direction et ce, par la réalisation de ces projets à travers des start-up ou des spiders. «Quelle est la finalité d'un brevet qui reste au tiroir?», s'est-il interrogé. «Il est important aujourd'hui que ces brevets puissent être exploités, une démarche qui encouragera certainement la compétitivité entre les chercheurs», a t-il ajouté incitant, dans ce cadre, les investisseurs à dépasser leurs complexes vis-à-vis des chercheurs algériens qui ont prouvé leurs compétences. S'agissant des chercheurs algériens à l'extérieur du pays, M.Aourag a fait savoir que «sur les 5000 chercheurs qui exercent dans des universités et des centres de recherches étrangers, il n y a qu'une centaine seulement qui participent réellement à l'effort national», réitérant pour l'occasion le soutien de son secteur à ces derniers à condition qu'ils présentent «des vrais projets structurants qui représentent une valeur ajoutée pour le pays». Il a cité à titre d'exemple, les 34 chercheurs algériens qui participent à la station spatiale internationale, ce qui fait de l'Algérie le seul pays arabe et africain prenant part à cette méga structure.
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source : "l'Expression d'Algérie" du 1°Novembre 2014


 2 300 brevets"

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«Nos universités et centres produisent en moyenne 10 et 20 brevets/an»«Nos universités et centres produisent en moyenne 10 et 20 brevets/an»
«L'Algérie qui contribue avec plus de 33% à toute la production scientifique africaine et 01% de la production mondiale, occupe la première place au niveau continental», a affirmé le ministre.
«La recherche scientifique a atteint son niveau d'innovation satisfaisant et de développement technologique satisfaisant», a affirmé le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Mebarki, en inaugurant hier le Salon international des véhicules aériens, les drones. Pour le ministère de la Recherche scientifique, les jalons de la recherche ont été mis en place d'où le nombre d'inventions qui sont enregistrées annuellement.
Le ministre a indiqué en ce sens que «nous comptabilisons 2300 brevets inscrits au nom de l'Algerie». Et d'ajouter que «nos universités et centres produisent en moyenne 10 et 20 brevet/an». Ayant axé son discours sur la recherche scientifique, Mohamed Mebarki, se montrant fier du campus algérien, a affirmé qu'en «termes de publication, la primauté revient aux spécialistes en engineering et sciences des matériaux». Là encore, Mebarki a affirmé que «l'Algerie, qui contribue dans ce domaine avec plus de 33% de toute la production scientifique africaine et 1% de la production mondiale, occupe la première place au niveau continental».
Le ton à la valorisation de ce secteur afin de propulser le développement scientifique. Mebarki a, dans son discours, annoncé que «le secteur oeuvre pour la création d'une Académie des sciences et des technologies».
Cette instance jouera le rôle d'une autorité suprême du pays tout en contribuant au développement des sciences et de leurs applications, de conseiller les autorités publiques dans ce domaine, marqué par l'explosion du savoir et de développement sans précédent des technologies.
Le ministère de la Recherche scientifique vise-t-il loin dans l'instauration d'uns telle politique? Indiscutablement, le ministère de tutelle semble vouloir intéresser ou encore séduire l'élite nationale basée aussi bien à l'intérieur que celle exerçant à l'étranger.
Mebarki, définissant la stratégie adoptée en ce sens, a indiqué que «l'élite nationale algérienne à l'intérieur et à l'extérieur du pays, que les indicateurs internationaux reconnaissent comme la plus consistante à l'échelle régionale d'un tel espace scientifique qui lui permet d'exprimer ses capacités scientifiques et technologiques et de renforcer sa visibilité dans le monde». Pour la tutelle, une telle politique quant au processus à mettre en place, est entamée en organisant à Oran un Salon international dédié aux drones. Et le ministre de la Recherche scientifique de déclarer en ce sens que «le salon que nous organisons entre dans le cadre de la mise en place d'une plate-forme technologique dédiée à l'aéronautique et le prototype dans le système de l'industrie des matériaux composites et des systèmes embarqués».
La coopération universitaire n'est pas en reste.
L'université de Blida a ratifié une convention de coopération scientifique avec le Conseil de recherche scientifique et industriel de l'Afrique du Sud.
Une seconde convention a été paraphée par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et l'Agence allemande aéronautique et du spatial.


source "El WATAN" du 30 Octobre 2014

Une récompense tous les deux ans par l’association France-Algérie

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le 31.10.14 | 10h00 Réagissez

Une distinction sera remise par l’association France-Algérie, une année sur deux, à une personnalité française et une autre algérienne qui aurait œuvré à la construction de l’axe Paris-Alger, c’est ce qu’a décidé un jury présidé par l’ancienne Premier ministre, Edith Cresson, en présence de nombreux experts et opérateurs des deux rives de la Méditerranée, selon le communiqué de l’association. 

Composé du député Michel Destot, ancien maire de Grenoble, Karl Falcon, rédacteur en chef d’Alger-Paris magazine, Christine Gilguy, rédactrice en chef du moniteur du commerce international, Bernard Goury, ancien directeur de l’Office national des forêts, Tahar Melliti, ancien conseiller à l’innovation et à l’économie industrielle au cabinet d’Arnaud Montebourg, Akli Mellouli, président de l’espace franco-algérien, Mohamed Oussedik, responsable CGT chargé des questions industrielles, Charles Villeneuve, journaliste- éditorialiste à Europe 1 et de Raoul Weexsteen, vice-président délégué de l’AFA, le jury sélectionnera la personnalité qui aura contribué au renforcement de la coopération Algéro-française.
Réuni il y a deux semaines au siège de l’association France-Algérie, le jury a désigné Jean-Louis Levet, haut responsable à la coopération industrielle et technologique franco-algérienne, pour incarner la personnalité dont l’engagement aura été essentiel au rapprochement entre la France et l’Algérie en 2013-2014. Le lauréat n’a finalement reçu sa distinction que le 18 octobre dernier par Jean-Pierre Chevènement, président de l’association France–Algérie et par Edith Cresson, présidente du jury, suite au colloque «France-Algérie, un futur industriel commun ?», qui s’est tenu à l’Assemblée nationale.
Sofia Ouahib

Vecteurs de communication France-ALGERIE après la Journée de la Presse d'un contexte de presse Algérien des plus vivants au monde & du Monde Arabe......

Voir 
http://www.asso-france-algerie.fr/

qui a organisé un colloque sur un espace industriel franco-algérien au moment où l'Algérie développe une industrie de l'Armement.....& automobile..........
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vu dans la liste membre du jury karl Falcon directeur de la rédaction d'Alger-Paris Magazine & un club THINK-THANK le magazine tire à 15.000 exemplaires avec un N° 2 à découvrir

en attendant nos analyses du contenu, par principe à tout nouveau projet prometteur nous ne pouvons que souhaiter "hamsa"......CINQ POUR EUX".......C'EST A DIRE..... : BONNE CHANCE !!!
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http://www.algerparis.fr/
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